Pour pouvoir effectuer un maximum de tâches en position assise, il faut aménager un plan de travail dont la zone inférieure est libre. Libre c’est-à-dire sans caisson / meuble bas. Ces derniers viendraient contraindre l’utilisateur à aborder le plan de travail de biais et donc à se contorsionner.
Le fait d’avoir un plan de travail sans meubles /caissons en dessous permettra au chef cuisinier en fauteuil roulant de passer ses jambes sous le plan et de s’approcher au maximum de la zone de travail ou de lavage.
Le plan de travail doit avoir une profondeur maximale de 0,65 m. Car ce qui est plus profond ne sera pas accessible.
Si plusieurs utilisateurs ayant un profil différents (debout et en fauteuil roulant) disposent de la même cuisine, il conviendra de s’équiper d’un plan de travail à hauteur variable. Il existe chez Granberg des solutions d’élévateurs de plan de travail avec un réglage manuel ou électrique.
Le réglage de la hauteur du plan de travail peut aussi se faire de manière électrique à l’aide d’un simple interrupteur ou d’une télécommande. Découvrez ainsi la gamme Baselift de chez Granberg.
La sécurité avant tout !
Au-delà de l’indispensable norme CE, tous les élévateurs de plan de travail motorisés doivent être équipés de système de sécurité anti-écrasement. Cela consiste généralement en une bandelette en caoutchouc qui file sous toute la longueur du châssis et qui, lorsqu’elle entre en contact avec les jambes de l’utilisateur ou avec un objet, provoque l’arrêt de la descente du plan. Chez Granberg, cet équipement est fourni de série. La bandelette de sécurité est montée en usine sous le châssis du Baselift.
Enfin, dernier détail pratique, une continuité de plan de travail entre l'évier et le plan de cuisson permettra à la personne d'éplucher les légumes et les préparer, ou encore d'essuyer la vaisselle en position assise, sans se déplacer. Il faut en effet éviter au maximum les transports d’ustensiles ou de plats sur les genoux. Une zone plan de travail immédiatement proche du four est indispensable. C’est une question de pratique comme de sécurité.